Les aspects esthétiques et économiques du pavé béton séduisent grand nombre d'utilisateurs. Pourtant, à l'origine,le pavé béton doit son succès à ses qualités techniques.
A/ Les performances inégalées des sols revêtus de pavé béton contribuent au développement de son intégration dans la conception des aménagements extérieurs durables:
Ecologique, la perméabilité naturelle des sols est préservé grâce aux espaces entre chaque module et à une pose qui s’effectue traditionnellement sur sable.
De la même manière, les joints sont réalisés avec du sable ou des mortiers de jointoiement perméables.
Des recherches menées par les cellules R&D d’unités de productions novatrices ont permis de développer des bétons poreux, offrant encore plus de performances en matière d’évacuation des eaux.
B/ En plus d’avoir la faculté d’être drainant, le pavé béton permet la sauvegarde de l’aspect initial des sols:
Aucune rustine ni marque de tranchée ne subsistent après travaux sous terrains.
Esthétiquement, le pavé béton s’adapte aux exigences les plus affirmées.
Les techniques de productions modernes telles que le lavage, le grenaillage ou le grésage permettent de révéler l’éclat naturel des agrégats de porphyre, de granit ou marbre qui composent le parement du pavé béton moderne.
Par ailleurs, les techniques de vieillissement anticipé confèrent au pavé béton un aspect rustique pour mieux s’intégrer dans des sites historiques.
Ainsi, qu’il soit moderne ou antique, le pavé béton d’aujourd’hui est aussi bien destiné aux zones piétonnes ou carrossables.
Un format et une assise adaptés assurent à l’ouvrage une durée de vie supérieure à 15 ans !
C/ Un investissement économique :
La seule comparaison de l’investissement initial ne suffit pas pour déterminer le coût réel d’un ouvrage réalisé avec le pavé béton.
Le coût actualisé global doit tenir compte de :
1/L’investissement initial
2/La qualité de cet investissement en résistance et en valeur architecturale
3/La durée de vie estimée de l’ouvrage
4/La fréquence et l’entretien des réseaux
5/Le coût induit par l’entretien des réseaux
6/Un taux d’actualisation